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Liste des Commentaires
L'épidémie
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La folle déraison de l’homme au pouvoir. La folie du cerveau humain au quel nous confions le devenir de notre pays, et donc le nôtre. Il existe tellement d’épidémies, l’obsession de l’obésité en est une. Manipulations en tous genres dans un but seul et unique : dominer. Plus rien ne m’étonne à ce niveau, depuis 2020…Nos ainés, nés dans les années 30 en savent aussi quelque chose. Une question s’impose : comment un seul homme (ok il est cinglé) parvient-il à mener les habitants de son pays à l’abattoir ? Folie folie folie… Le style est très agréable, cependant, et au delà de toute folie !
Identités croisées
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Compliqué, alambiqué…très compliqué, très alambiqué. Impossible même de comprendre le pourquoi d’un tel imbroglio. Trop de personnages, tout est mélangé, brassé et sans ordonnance. Envie de savoir la fin bien sûr alors on va au bout…mais la fin n’en vaut pas les moyens ! Harlan COBEN nous avait habitué à mieux…
Grossir le ciel
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Nous voici plongés dans du rustique, rural, plus rustique ce sera difficile. Deux gaillards sont là, occupés à la vie de leurs fermes respectives. Taiseux. Rien à dire et tout à penser. En fond de scène, plusieurs vies de non-dits, plusieurs vies dans le déni complet, dans le secret des familles qui ne sont familles que par actes civils. Plusieurs existences bousillées par refus de choix. Plusieurs existences qui passent très au delà de leur vie pour des motifs dont on ne connaît même plus l’origine. Des vies de "merde"…en quelque sorte. Ceci écrit…il reste la magnifique plume et la très riche prose de Franck BOUYSSE.
Un tesson d'éternité
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Que faire quand les blessures d’enfants sont soignées, cicatrisées…mais pas guéries ? Faire semblant toute sa vie durant, se forger une allure, une petite bourgeoisie proprette de province, faux amis, fausses relations, fausse enfance, faux parents, fausse relation amoureuse, faux épanouissement conjugal, fausse vie…tout est faux et un jour la blessure s’ouvre…l’infection est toujours là. Elle attend, sournoise. Il faut lui faire son compte pour avancer ou à tout le moins avoir la paix. Sa paix à soi. Ainsi, Anna se voit sortir de cette fausse vie par le biais de son fils incarcéré pour agression sur un agent des forces de l’ordre. Tout bascule, tout ce qui était faux lui explose soudain en pleine poire. Régression pour aller jusqu’à retrouver l’origine de la blessure et…lui faire sa fête…pour l’éternité. Avec un tesson. Très bonne lecture, et bonnes réflexions en vue !
De bonnes raisons de mourir
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Exception faite de l’intrigue policière qui est ce qu’elle est, nous sommes dans un autre monde. Un monde proche de chez nous, très proche, à vol d’oiseau. Pripiat, Ukraine. Le réacteur numéro 4 de la centrale Vladimir Ilitch Lénine dite aussi centrale nucléaire de Tchernobyl prend feu en 1986. Dans ce livre on apprend que si Alexeï, Valeri et Boris n’avaient pas plongé dans le bassin inondé sous le réacteur 4, que si le magma d’uranium et de graphite s’était déversé dans le bassin, l’Europe ne serait pas habitable. On y apprend qu’il faudra 20 générations d’humains pour y voir un peu plus clair, que le plutonium 239 continuera d’être dangereux pendant la bagatelle de…vingt quatre mille ans, que sur la zone le bois y est coupé et vendu sans indication de provenance…que fabrique t-on avec du bois ? De jolis meubles vendus dans toute l’Europe…on le brûle aussi, dispersant ainsi des millions de particules radioactives. On apprend aussi qu’à Pripiat, on cultive de magnifiques légumes, la flore y est en abondance. Les légumes ? Vendus pour des légumes bio. On y apprend qu’environ 10 à 15 tonnes de ferraille sortent chaque nuit de la zone, oui à grands renforts de roubles…tout passe. Qu’advient-il ce cette ferraille ? Vendue dans le reste du monde pour être fondue et retravaillée en capots de voitures, ou en trottinettes…les trottinettes non polluantes… À vous faire glacer le sang… L’horreur des horreurs de l’homme, nous. Allez, un peu de courage…et bonne lecture. Style littéraire très agréable, c’est à souligner !
Là où chantent les écrevisses
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Parfait pour les inconditionnels de la vie des marais, ornithologie, faune et flore, les allers-retours des marées et des rares autochtones. Là aussi, tout le monde aime bien savoir ce que fait tout le monde…jamais la paix ! Beaucoup de longueurs, beaucoup de détails…
Le Gosse
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Enfances volées, martyrisées, saccagées, violées, détruites, anéanties, massacrées, tuées sous…je cite l’auteur : « le regard de Dieu ». Les chapelles sont emplies de fidèles sous lesquelles se cachent…les cachots. Le tort de ces enfants est de se trouver un jour orphelins et donc corvéables à souhait par et pour la Nation. Joseph trouvera t-il une forme de paix entre la musique et son grand amour ? Comment se déposséder de 10 ans de bagne à l’âge où tout se construit ? Une très belle plume pour narrer l’inénarrable…
L'épaisseur d'un cheveu
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Comment passer d’homme simple à la vie bien ordonnancée à celle d’un tueur sanguinaire ? L’épaisseur d’un cheveu suffit… Comment passer d’un style littéraire époustouflant dans un français très riche (prévoir un dictionnaire…) à un style tellement léger ? L’épaisseur d’un cheveu suffit… La folie de l’homme mise en scène par la folie du voyage entre l’écriture familière et celle des académiciens, voici un pur bonheur de lecture.
Psychopompe
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Une plume d’un exquis raffinement. Enfin, en quatre lignes, elle révèle le drame de sa vie vécu à l’âge de 12 ans. Une seule possibilité pour extérioriser, écrire. Le seul moyen pour l’écrire, se transformer en oiseau. Alors oui, « écrire, c’est voler. Très belle littérature.
L'enragé
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Sorj Chalandon et sa grande souffrance… « Je me suis tiré de chez moi, j’avais 12 ans ». Le ton sur sa vie est donné. Dans cet ouvrage, il devient Jules l’enragé, Jules l’évadé, Jules le révolté, Jules l’assoiffé de liberté. Jules est enfermé au bagne pour enfants à l’âge de 12 ans, il ne doit en sortir qu’à sa majorité, 21 ans. À 18, il s’évade, sera aidé mais restera révolté et enragé de liberté. Puis il fera le choix douloureux de vivre la très grande liberté qu’apporte parfois la fin de vie… Une très belle prose, cependant pas le meilleur Chalandon que j’ai lu…
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