Notes : "C'était un lutteur obsessionnel et courageux, peut-être comme tous ceux pour qui exister est un corps à corps, à qui rien ne semble simple, évident. Il attaquait la journée dans un grand cri de silence. J'ai su qu'il allait mourir le jour où il a cessé de se coiffer. " Avec ce récit où chaque mot est pesé, choisi avec soin, Vincent Flamand lance un vibrant hommage à son père - au père, dans sa plus belle acception. Je suis sûre qu'à sa lecture chacun se reconnaîtra, le sourire aux lèvres et larmes au coin des yeux.